Vous trouverez tous les enregistrements vidéos et audios des prestations des candidats du Concours Reine Elisabeth – Piano 2021 sur le site du Concours Reine Elisabeth.


Concours Reine Elisabeth 2021 / Session piano

Braley et Mozart à Saint-Ghislain
« Du 10 au 15 mai l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagnera les 12 demi-finalistes du Reine Elizabeth. Cela fait 20 ans que l’ensemble montois participe à ces concours, un des cinq  les plus importants au monde. A la baguette: Franck Braley, ex- directeur musical,   mais aussi lauréat de ce même concours, il y a juste 30 ans. Particularité: Les répétitions se déroulent au Foyer Culturel de Saint Ghislain, et ce pour respecter les mesures sanitaires ».
Télé MB, 5 mai 2021


Concours Reine Elisabeth : l‘Orchestre Royal de Chambre de Wallonie répète
« Les musiciens répètent à Saint-Ghislain dans le respect des règles sanitaires imposées par l’épidémie de Covid-19. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagnera les pianistes en lice pour l’édition 2021 du Concours Reine Elisabeth »
RTL TVI, Les infos, 06/05/2021- 13 h, reportage Julien Crête


Concours Reine Elisabeth : l‘Orchestre Royal de Chambre de Wallonie répète
« Les musiciens répètent à Saint-Ghislain dans le respect des règles sanitaires imposées par l’épidémie de Covid-19. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagnera les pianistes en lice pour l’édition 2021 du Concours Reine Elisabeth. »
RTL TVI, Les infos, 06/05/2021- 19 h, reportage Julien Crête


L’ORCW répète à Saint-Ghislain avant le concours Reine Elisabeth

L’ORCW, basé au jardin du Mayeur à Mons, accompagnera la semaine prochaine les douze demi-finalistes du concours Reine Elisabeth à Bruxelles. Mais pourquoi les musiciens répètent-ils à Saint-Ghislain ? « Nous avions besoin d’un grand espace pour répéter avec 30 musiciens », nous répondent en coeur Régine Henriette, chargée des relations publiques, et Laurent Fack, directeur général de l’ORCW. « Vu les conditions actuelles, faire répéter 30 musiciens était impossible en nos locaux. Les musiciens doivent être strictement écartés d’au moins 1m50 et nous n’aurions pu travailler qu’avec 17 musiciens. Nous avons cherché diverses salles pour répéter et finalement c’est Jérémy Bricq, échevin à Saint-Ghislain, qui nous a proposé ce foyer culturel où la distanciation est possible ».
La Province, Patrick Tierce, 07/05/2021


Concours Reine Elisabeth, Valentine Jongen de la chaine Youtube Val so Classic


La UneConcours Reine Elisabeth : Frank Braley gagnait le premier prix il y a tout juste 30 ans.
Frank Braley, premier prix du Concours Reine Elisabeth en 1991, dirige l’ORCW et soutient les demi-finalistes lors de leur interprétation d’un concerto de Mozart. Il sait très bien ce que peuvent ressentir les candidats, lui qui est passé par là il y a tout juste 30 ans.
RTBF, JT 19h30, 10/05/2021 – Reportage S. Heinderyckx, B. Daumerie, M. Desnoyers, C. Valentinelli, B. Leroy


 

 

« Un candidat très expressif, très investi, comme il l’avait déjà démontré lors de la première épreuve, qui a proposé un Concerto n°17 en sol majeur de Mozart dans un vrai dialogue avec !’Orchestre de Chambre de Wallonie, dirigé par Frank Braley. »

Le Soir / Culture, 11/05/2021, Gaëlle Moury


 

 

« Malgré les regards complices et un vrai dialogue avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dirigé par Frank Braley (…) »

Le Soir / Culture, 12 et 13/05/2021, Gaëlle Moury

 

 


« Pour l’ORCW, c’est une longue histoire d’amour avec le Concours Musical international Reine Elisabeth. « Nous avons le bonheur d’être systématiquement réinvités depuis 20 ans pour les sessions violon, piano ou violoncelle », dament nos deux interlocuteurs. « Depuis 1991, nous sommes sélectionnés pour les demi-finales. Chaque année, n’importe quel orchestre de chambre international pourrait prendre notre place, mais malgré la concurrence internationale, nous sommes toujours pris et nous en sommes fiers ! » (….) le Concours Reine Elisabeth est sans doute l’un des plus prestigieux concours au monde – oui, soyons chauvins ! – Créé  en 1937, il attire les meilleurs jeunes musiciens du monde qui se sont déjà illustrés lors d’autres concours. Le remporter, c’est s’assurer une brillante carrière internationale à l’image de Frank Braley, qui a remporté ce concours en 1991 et dirigera l’ORCW pour les demi-finales du 10 au 15 mai prochain ».

Vlan, Patrick Tierce, 12/05/2021


 

 

 » L’introduction de l’orchestre est joliment enlevée et accueille avec naturel le jeu très doux du soliste, doux mais lumineux, perlé et propulsé par une clarté agogique du meilleur effet sur les échanges avec l’orchestre. L’adagio, très  lent, sera mené dans ses sonorités plus douces encore, et au comme dans une réminiscence lointaine et douloureuse, option soutenue avec tact par le chef et ses musiçiens, »

« Après l’introduction orchestrale, vive et pimpante (…)

La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 14/05/2021


Interview de Laurent Fack
Klara (VRT)Lut Van der Eycken15/05/2021


 

 

 

« Tempo idéal, transparence de l’orchestre (…) »

La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 15 et 16/05/2021


 

 

 

« L’entente avec Frank Braley et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie est excellente, et les musiciens nous offrent ensemble un des sommets mozartiens de la semaine. Et, tout simplement, un vrai, beau moment de musique. »

La Libre Belgique, Nicolas Blanmont, 16/05/2021


« Laurent Graulus et Gwenn Lucas sont revenus sur les meilleurs moments de la demi-finale de l’ édition « piano » 2021.

Pendant deux heures, les deux chroniqueurs vous ont proposé de nombreux extraits musicaux, mais aussi des interviews de Gilles Ledure, président du Jury, et du pianiste français François-Frédéric Guy, et de Jean-Claude Vanden Eynden, membres du Jury.

La dimension concertante n’était pas en reste, puisque Laurent Graulus avait également rencontré Frank Braley, le pianiste et chef de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, ainsi que des musiciens de cette formation qui avaient accompagné chacun des 12 demi-finalistes dans 5 des 27 Concertos pour piano de Mozart.

 

Cette session « piano » 2021 qui est, -on le sait-, résolument exceptionnelle, à plus d’un titre ! D’abord, parce qu’elle aurait dû avoir lieu il y a un an.

Ensuite, parce que suite aux restrictions sanitaires, cette session se tient à huis-clos (photo), de la 1ère épreuve jusqu’à la finale. Mais également, et ce toujours pour les mêmes raisons, parce que le nombre de candidats en demi-finale et en finale a été divisé par deux.

Pour la 1ère fois aussi depuis très longtemps, le contingent sud-coréen était constitué d’une seule représentante Su Yeon Kim, qui était aussi l’unique femme présente à cette demi-finale.

La finale sera, on le déplore, exclusivement masculine, puisque la jeune Sud-Coréenne n’a pas été retenue parmi les 6 finalistes.

Bonne écoute ! »

Réalisation : Laurent GRAULUS
Présentation : Gwenn LUCAS et Laurent GRAULUS
Prises de son musicales : Katia MADAULE et Bertrand VANVAREMBERGH
Réalisation technique : Antoine DUWAERTS



Concours Reine Elisabeth 2019 : une belle session

Après avoir accompagné 24 concertos en 6 jours, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et Jean-Jacques Kantorow reçoivent les félicitations du jury et les applaudissements du public.

"Majesté, Mesdames et Messieurs,

Au nom des membres du jury, j'ai le plaisir de remercier les musiciens de l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction inspirée de Jean-Jacques Kantorow.
Nous avons particulièrement apprécié votre générosité, votre attention et votre travail avec chacun des candidats à ce stade de leur carrière musicale.
De tout coeur, merci"

Gilles Ledure,
Président du jury du Concours Reine Elisabeth
Directeur Général de Flagey

Les membres du jury du Concours Reine Elisabeth 2019


Sa Majesté la reine Mathilde s’entretient avec les musiciens de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et le chef d’orchestre Jean-Jacques Kantorow après le dernier concerto de Mozart des demi-finales.

Photos © Bruno Vessiez


« Chapeau à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, c’est exceptionnel »
Jean-Jacques Kantorow a dirigé l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth 2019. Au micro de Camille De Rijck, à l’issue du dernier concert, il livre ses impressions sur l’ORCW.


L’orchestre, épreuve de vérité pour les candidats du Concours Reine Elisabeth

Au fur et à mesure des étapes, les violonistes sont accompagnés d’un orchestre. Rencontre avec Jean-Jacques Kantorow, le chef d’orchestre qui a accompagné les demi-finalistes.

Il accompagne les candidats de manière à la fois chaleureuse et douce, comme s’il s’effaçait pour les laisser briller totalement. Lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth, Jean-Jacques Kantorow dirigeait l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dans les Concertos de Mozart, parmi lesquels les violonistes en lice devaient faire un choix. Un travail crucial, qui implique d’être entouré de musiciens solides et capables de s’adapter très rapidement. « Le r61e de l’orchestre dans ce genre d’épreuve, c’est de mettre les candidats au défi », explique Kantorow, lui-même violoniste émérite. « Ça montre aussi aux membres du jury les candidats qui sont déjà armés pour faire carrière car dans une salle, avec un orchestre quel qu’il soit, il faut jouer plus que ce qui est écrit sur une partition. Il faut savoir rajouter une nuance pour la spécificité de la salle et du concerto (…)

A l’appui et à l’impulsion
Le travail avec l’orchestre est en fait assez complexe (…) « C’est un travail extrêmement difficile, dans le sens où il y a un nombre limité d’œuvres. Il y a très peu de temps de répétition – beaucoup moins que lorsqu’on se trouve dans la configuration concert, où en plus il n’y a qu’une seule version de l’œuvre. Et il ne faut pas seulement un orchestre qui joue bien. Il doit aussi être capable de suivre à la lettre, à la (micro-)seconde le candidat qui est en train de jouer. En fait, ce n’est pas simplement accompagner. A partir du moment où on accompagne, on est derrière, on est démotivé. Mais l’orchestre se doit d’être inspirant pour le candidat. Le candidat va définir son idée, son concept de l’œuvre, c’est-à-dire son tempo, ses idées musicales, ses prises de risque, mais après, l’orchestre se doit, avec 1es éléments dont il est en possession après la répétition, de l’inspirer pour lui donner la carrure, l’assise et la confiance dont il a besoin pour jouer. C’est là aussi que les membres du jury peuvent juger. Car ils vont juger du candidat qui est capable d’écouter l’orchestre, de faire de la musique de chambre, c’est-à-dire de s’inspirer de ce que fait l’orchestre pour être lui-même motivé.  » Inspirer le candidat, mais aussi… le soutenir et limiter la casse dans le cas où il commettrait une erreur. »

Le Soir +, Gaëlle Moury, 16/05/2019


2017 : Un Concours Reine Elisabeth exceptionnel

Depuis 2001, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagne les 24 demi-finalistes du Concours Reine Elisabeth.
2017 : pour la toute première fois de son histoire, le Concours Reine Elisabeth s’ouvre au violoncelle ! La RTBF (La TroisMusiq’3, rtbf.auvio.bertbf.be/reineelisabethet la VRT (CanvasKetnetKlara , canvas.bevous ont proposé cette épreuve en direct en télévision, en radio et sur le Net.

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Sa Majesté la Reine Mathilde et l'Orchestre Royal de Chamùbre de wallonie, 20 mai 2017 © Laurent Fack

Sa Majesté la Reine Mathilde et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, 20 mai 2017 © Laurent Fack

Concours Reine Elisabeth : un parcours sans faute

Il faut insister une fois encore sur la qualité du travail de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et de son directeur musical Frank Braley : s’ils n’avaient apparemment que deux concertos de Haydn à jouer en alternance cette semaine (treize fois le ré majeur, onze fois l’ut majeur), les Montois ont réussi en réalité à jouer vingt-quatre concertos différents, tant ils ont voulu et su s’adapter aux spécificités (tempi, dynamiques, leadership ou non) de chacun des vingt-quatre demi-finalistes.

L’ORCW qui, les années précédentes, avait parfois pu sembler de niveau inégal, a incontestablement bénéficié du fait d’être dirigé non plus par des chefs invités (aussi talentueux soient-ils) mais par son directeur musical. Un directeur musical qui sait de quoi il s’agit puisqu’il a lui-même remporté le Concours en 1991. (Lire l’article)

La Libre.be, Nicolas Blanmont, 22/05/2017


Concours Reine Elisabeth : Formidable Haydn du Biélorusse Ivan Karizna

C’est à un tempo particulièrement soutenu que Frank Braley et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie – qui seront quelques minutes plus tard ovationnés par un Studio 4 debout, Reine Mathilde comprise – attaquent l’introduction du désormais familier concerto en ut majeur de Haydn.  (Lire l’article)

La Libre.be, Nicolas Blanmont, 20/05/2017


 


RTBF-beDemi-finale du Concours Reine Elisabeth 2017 : un écho des prestations du mercredi 17 mai

« Cette session d’Orchestre de ce mercredi se termine par un tonnerre d’applaudissements pour Frank Braley et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, qui, il faut le rappeler abat un travail phénoménal, avec un raffinement digne des plus grands Orchestres internationaux. » (Lire l’article)

rtbf.be, Laurent Graulus, 18/05/2017


Demi-finales du Concours Reine Elisabeth : Haydn et Braley font leurs débuts

« Vingt-six ans après, Frank Braley est de retour en demi-finales au Concours Reine Elisabeth ! Mais le pianiste français officie cette fois en sa qualité de chef de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, en belle forme pour accompagner les survivants du deuxième tour dans leur concerto de Haydn ou de Boccherini. » (Lire l’article)

La Libre.be, Nicolas Blanmont, 15/05/2017


Demi-finale du Concours Reine Elisabeth : Un joli début de demi-finale avec un ORCW très en forme

« Mais Shiao He a aussi la sobriété qu’on attend dans Haydn: il n’abuse pas du vibrato. Son a1ticulation et son timing sont impeccables: c’est particulièrement marquant dans le 3e mouvement, emmené à vive allure par le chef Frank Braley. Bel équilibre aussi entre l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW) et Shia He qui joue souplement, mais qui a aussi sacrément du son ! Un joli début de demi-finale avec un ORCW très en forme, et un beau candidat pour ouvrir cette demi-finale ! (Lire l’article)

MUSIQ3, Laurent Graulus, 15/05/2017

 


RTBF-beComment s’est passé le 2e jour de la Demi-finale à Flagey ?

Tous les jours de cette semaine, Laurent Graulus vous livre un compte rendu de chaque session de la demi-finale du Concours Reine Elisabeth.

« Le 3e mouvement « Allegro molto  » est cette fois respecté à la lettre par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, dirigé par un Frank Braley très impliqué« . (Lire l’article)

rtbf.be, Laurent Graulus, 17/05/2017


Concours Reine Elisabeth: Yan Lievionnois, la défonce maitrisée

« …les sonorités peinent à s’épanouir et il faut toute l’attention de Frank Braley pour que le lien s’établisse avec l’orchestre (…) des sonorités rondes, douces, modérément vibrées, portées par un orchestre inspiré et fraternel » (Lire l’article)

La Libre.be, Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2017


Concours Reine Elisabeth : « Chacun(e) sa Chaconne », c’est prouvé

« Adagio se présente comme un moment de ferveur qui ne mettra que plus en valeur un finale débridé, pris à tombeau ouvert, avec le premier violon et le chef – tous deux au taquet– pour parapet de sécurité »(Lire l’article)

La Libre.be, Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2017


Concours Reine Elisabeth: Brahms, Janus à deux têtes

 » …en dépit de belles sonorités (l’instrument est un superbe Riccardo Antoniazzi) et d’une technique assurée, la conduite est flottante, pour ne pas dire molle, en tous cas dénuée d’agogique (contrairement à l’orchestre, et le contraste se remarque clairement). (Lire l’article)

La Libre.be, Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2017


Interview de Frank Braley
La TroisCamille De Rijck, 20/05/2017


20 mai 2017. A l’issue des demi-finales du Concours Reine Elisabeth, Camille De Rijck, en direct sur La Trois (RTBF), interview Frank Braley qui a dirigé l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie pour l’audition des 24 demi-finalistes.


Interview de Frank Braley
Klara
,
 Lut Van der Eycken, 15/05/2017

« C’est vraiment un marathon sur toute la semaine, mais l’orchestre a énormément de plaisir à faire cette belle semaine. Et en plus, on a, jusqu’à maintenant, des solistes qui nous inspirent beaucoup (…) c’est très stimulant. Et cela nous oblige à être toujours extrêmement concentrés, parce qu’on ne peut avoir aucun réflexe. Il faut vraiment s’adapter et changer complètement la manière de jouer pour chaque candidat (…) c’est un tel enjeu pour ces jeunes musiciens, et pour l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie qui est là tous les ans mais qui, en même temps, est très attendu parce que c’est une tâche très difficile de jouer toute la semaine (….) Ils jouent magnifiquement bien, je les guide, mais ce sont eux qui jouent, pas moi.

Bonsoir Frank Braley, soyez le bienvenu.

  • F.B. : Merci à vous.

Merci de nous accorder cet interview

  • F.B. : Voilà, juste quelques minutes après être sorti de cette très belle et très longue journée.

Oui, c’est une tâche énorme, immense que vous faites cette semaine-ci, vous et votre orchestre.

  • F.B. : Oui, parce que peut-être, ce que le public ne sait pas, c’est que tous les matins nous répétons évidemment avec les 4 solistes qui jouent le lendemain. Donc l’orchestre travaille 4 h le matin, et ensuite 2 concerts, un à 15 h, un à 20 h. C’est vraiment un marathon sur toute la semaine, mais l’orchestre a énormément de plaisir à faire cette belle semaine. Et en plus, on a, jusqu’à maintenant, des solistes qui nous inspirent beaucoup.

Ça se voit et ça s’entend.

  • F.B. : Oui, enfin, ce sont des concerts. Nous, on le prend comme ça. Et étant donné le niveau de ceux que nous avons entendus et accompagnés, ce sont des vrais concerts.

Chaque candidat, évidemment, Frank Braley, veut mettre les accents spécifiques dans son concerto.

  • F.B. : Oui, mais c’est ça qui est très amusant, parce qu’on était un tout petit peu inquiets sachant qu’on allait jouer une douzaine de chaque concerto, puisque il n’y a que 2 personnes qui ont pris le Boccherini. On s’attendait à ce que tout le monde joue très vite, voilà, pour montrer ses muscles. Et pas du tout. On a vraiment des candidats très différents, des personnalités très marquées. Parfois, on joue – et c’est ce qui se passera demain – on va jouer dans le concert deux fois le même concerto. Et vous entendrez que c’est tout à fait, tout à fait tout à fait différent. Donc, c’est très stimulant. Et cela nous oblige à être toujours extrêmement concentrés, parce qu’on ne peut avoir aucun réflexe. Il faut vraiment s’adapter et changer complètement la manière de jouer pour chaque candidat.

Vous êtes très lié à ce concours. Vous avez participé, remporté ce concours. Vous avez fait, je crois, deux fois le jury.

  • F.B. : Deux fois le jury. J’étais à cette table qu’on a juste derrière nous, oui, deux fois.

Et toute cette expérience, aide-t-elle… êtes-vous… disons… avez-vous une manière ou l’autre de partager toutes vos expériences avec les candidats ?

  • F.B. : Alors, c’est vrai que je suis moi très, très lié, parce que c’est un concours qui a changé ma vie. Et maintenant depuis un quart de siècle, c’est comme si je faisais partie de la famille du concours. J’ai à peu près tout vu, presqu’à 360°, de ce concours. C’est encore une expérience nouvelle de me retrouver sur scène, mais pas pour jouer du piano. Et, évidemment, je sais bien ce que vivent ces jeunes musiciens, et la tension, et le stress que cela représente. Mais l’enjeu – en plus, c’est une première édition, c’est un concours historique, celui-ci-. Et connaissant ce que c’est d’être à leur place, je mets vraiment toute mon énergie à les soutenir et à vraiment les porter, leur donner les moyens de s’exprimer dans les meilleures meilleures conditions.

Vous êtes passionné, vous êtes engagé. Ce doit être magnifique de pouvoir jouer avec vous.

  • F.B. : Ecoutez, je fais de la musique depuis que je suis né, pour ainsi dire. Et, dans ce contexte, il y a aussi une électricité dans l’air, parce qu’il y a un tel enthousiasme du public aussi. Et puis, c’est un tel enjeu pour ces jeunes musiciens, et pour l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie qui est là tous les ans mais qui, en même temps, est très attendu parce que c’est une tâche très difficile de jouer toute la semaine. On est pas là pour écouter l’orchestre, en fait, l’orchestre est là pour porter les candidats.

Mais quand même !

  • F.B. : Oui, bien sûr. Mais donc, voilà : moi je suis là pour, en même temps, créer cette homogénéité, cette harmonie, donner l’énergie. Et puis, je vais vous faire une confidence : c’est quand même plus facile de diriger que de jouer du piano. Ils jouent magnifiquement bien, je les guide, mais ce sont eux qui jouent, pas moi.

Frank Braley, je vous souhaite encore beaucoup de succès. Merci infiniment.

F.B. : Merci de votre invitation, et belle semaine à vous tous et à tous vos auditeurs.


Interview d’Ondine Simon,
altiste à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie
La TroisVincent Delbushaye, 20/05/2017

20 mai 2017. A l’issue des demi-finales du Concours Reine Elisabeth, en direct sur La Trois (RTBF), Vincent Delbushaye , en bord de scène, interview Ondine Simon, fraîchement arrivée au pupitre des altos de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie.


Demi-finales du 21 mai 2017 – Victor Julien-Lafferière
Haydn : Concerto n°2 en ré majeur Hob. VIIb:2

RTBF, La Trois


Demi-finales du samedi 20 mai 2017 – Ivan Karizna
Haydn : Concerto n°1 en ut majeur Hob.VIIb:1
RTBF, La Trois


Demi-finales du 17 mai 2017 – Maciej Kulakowski
Haydn : Concerto n° 2 en ré majeur Hob. VIIb:2
RTBF, La Trois


Autour du Concours Reine Elisabeth

Reportages, interviews
Télé MB, JT, 16/05/2017


Pour améliorer la performance des musiciens lors du Concours Reine Elisabeth, des chercheurs de l’unité « Forme et fonctionnement humain » à la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) scrutent les gestes des musiciens et leur proposent des pistes de réflexion pour faciliter leur travail.

Radio France Internationale (RFI), émission « Vous m’en direz des nouvelles » de Jean-François Cadet, reportage de Joana Hostein, 29 mai 2017


Des Kinés entament des recherches sur l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie

RTBF-be« Deux étudiantes en kinésithérapie à la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) ont entamé un travail de recherche sur l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW) dans le cadre du Concours Reine Elisabeth. L’objectif est d’évaluer l’impact du concours sur la santé du musicien professionnel, selon un communiqué diffusé lundi.
L’Orchestre royal de chambre de Wallonie accompagne les candidats lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth du 15 au 20 mai, une véritable épreuve d’endurance dans le domaine musical.
Après une première phase d’analyse de leurs mouvements à l’aide de caméras 3D, les deux étudiantes ont effectué des mesures précises sur les musiciens avant le concours. Elles effectueront ces mêmes tests de force et de souplesse après la compétition, a expliqué Mikaël Scohier, docteur en sciences de la motricité ». (Lire l’article)

rtbf.be, d’après Belga, 15/05/2017


Des kinés au chevet du Concours Reine Elisabeth

« Pour l’Orchestre Royal  de Chambre de Wallonie (ORCW() qui devra donc s’exécuter 24 fois jusqu à samedi inclus l exercice met à rude épreuve muscles et tendons Deux étudiantes en kinésithérapie à la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) en ont profité pour lancer un travail de recherche afin d’évaluer l impact du concours sur la santé de ces musiciens professionnels (…) Il s agit donc bien de transposer des techniques éprouvées en milieu professionnel à l ORCW. L’objectif est d évaluer l’impact du concours sur la santé des musiciens et de détecter les douleurs pertes de souplesse de force ou encore de dextérité après une exposition importante, a encore indiqué Mikaël Scohier (docteur en sciences de la motricité). Et de mieux cibler les traitements et les échauffements à prévoir ». (Lire l’article)

L’Echo, d’après Belga, 16/05/2017


Le musicien, cet athlète qui s’ignore

Les musiciens de l’ORCW sont les cobayes d’une étude des chercheurs de la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa). Comment l’orchestre qui accompagne les candidats du Concours Reine Élisabeth parvient-il à jouer 6 heures par jour ? Des chercheurs scrutent l’état physique des membres de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. (Lire l’article)

Le SoirLe Soir Plus, Sandra Durieux, 16/05/2017


Une étude inédite lancée sur la santé des musiciens

« C’est la thématique de la santé du musicien professionnel qui a été ciblée. Ce sujet a la particularité d’être assez peu étudié dans le monde académique si on le compare, par exemple, au cas de la santé des élites sportives, qui sont l’objet de toutes les attentions. Dans le but de permettre à ses musiciens d’exercer leur art tout en minimisant les risques de pathologies associées, l’ORCW dispose déjà d’une kinésithérapeute attitrée depuis plu-sieurs années. Les unités de recherche de la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) possèdent, quant à elles, une réelle expertise dans le domaine de l’évaluation ergonomique, traditionnellement associée au travail en industrie et à des thématiques telles que le bien-être des travailleurs, les risques d’apparition de TMS (Troubles musculo-squelettiques), etc. li s’agit donc bien de transposer des techniques éprouvées en milieu professionnel à l’ORCW. Afin d’objectiver l’évaluation ergonomique, la collaboration du FFH avec le Cerisic s’est révélée fructueuse: il s’agit en effet d’utiliser des nouvelles techniques comme des caméras 3D pour aider l’ergonome à affiner son diagnostic ». (Lire l’article)

La Dernière Heure / Les Sports, C.Ti , 16/05/2017


Depuis 2001, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagne les 24 demi-finalistes du Concours Reine Elisabeth.


2016 – Session piano

Les demi-finales du prestigieux Concours Reine Elisabeth, consacré cette année au piano, se dérouleront à Flagey, du lundi 9 au samedi 14 mai 2016, à 15 h et à 20 h.
Lors de chaque séance, deux candidats présenteront d’abord un concerto de Mozart (KV 466, KV 467, KV 503 ou KV 537) accompagnés par l’Orchestre royal de Chambre de Wallonie, dirigé par Paul Meyer, et ensuite leur récital ainsi que l’oeuvre inédite imposée, écrite spécialement pour cette session par le Belge Fabian Fiorini : Tears Of Lights.

Infos et tickets :
www.flagey.be – 02/641 10 20 – ticket@flagey.be

La RTBF couvrira largement cet événement :

  • Sur Musiq’3 : en direct (sessions de 15h et de 20h) + proposée en diffusion à l’UER.
    Sur La Trois : sessions de soirée en direct à 19h50, sessions d’après-midi en différé à 23h.
    Sur www.rtbf.be/reineelisabeth : streaming vidéo, interviews, podcasts des prestations, mais aussi les archives de la RTBF sur le Concours !
    Sur auvio.be : streaming vidéo.

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RTBF-bertbf-auvio-logo web

La_Trois_PNGRevivez les demi-finales des six premiers lauréats du Concours Reine Elisabeth 2016 consacré au piano.

Enregistrement RTBF, La Trois


Lukáš Vondráček
interprète le Concerto n° 21 pour piano et orchestre, en ut majeur, K 467 de Mozart avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 1er prix du Concours Reine Elisabeth (Grand Prix International Reine Elisabeth – Prix Reine Mathilde).

Henry Kramer interprète le Concerto n° 25 pour piano et orchestre, en ut majeur, K 503 de Mozart  avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 2e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix du Gouvernement Fédéral Belge – Prix Arthur De Greef).

Alexander Beyer interprète le Concerto n° 20 pour piano et orchestre, en ré mineur, K 466 de Mozart  avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 3e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix du Comte de Launoit).

Chi Ho Han interprète le Concerto n° 21 pour piano et orchestre, en ut majeur, K 467 de Mozart avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 4e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix des Gouvernements communautaires de Belgique, offert cette année par le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles).

Aljoša Jurinić, interprète le Concerto pour piano et orchestre n°26, en ré majeur, du « Couronnement », K 537  avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Elle a remporté le 5e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix de la Région de Bruxelles Capitale).

Alberto Ferro interprète le Concerto n° 21 pour piano et orchestre, en ut majeur, K 467 de Mozart avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 6e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix de la Ville de Bruxelles) et le Prix Musiq’3 du public.
Enregistrement RTBF, La Trois.


MUSIQ3_RVB_15MUSIQ’3 – Les dessous du Concours Reine Elisabeth

Interview de Jean-Frédéric Molard, premier violon à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie


2015 – Session violon

Bruxelles, Flagey, du 11 au 16 mai 2015, à 15 h et à 20 h. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagne les demi-finalistes du Concours Musical International Reine Elisabeth 2015 – session violon – dans les concertos de Mozart.
Interview de Paul Meyer, chef d’orchestre, par Laurent Graulus – Enregistrement RTBFLa trois


Retrouvez les vidéos du Concours Reine Elisabeth sur www.rtbf.be/auvio

 

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