À propos de cet événement
20h : D’Olbia Show Orchestra, concert d’une heure sans pause
> 21h30 : after
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C’est avec une aisance décoiffante que Roberto d’Olbia joue avec la musique. Il n’a pas fini de vous surprendre et de vous faire rêver…
Devenu pianiste virtuose après une solide formation classique, il décide d’utiliser ses dons d’imitateur et d’humoriste pour créer des spectacles autour de la musique. Ce fantaisiste au charisme magnétique mêle alors sans complexe tous les genres musicaux : il attaque Bach, Mozart, Beethoven, Chopin…puis explique les douces vertus du Blues en dérapant dans la variété internationale et française avec les Beatles, Elton John, Freddy Mercury, Gainsbourg…
Le succès est immédiat et l’amène à jouer dans les plus grandes salles de concerts et de spectacles de Paris. Ses apparitions sur scène comme sur le petit écran sont « inoubliables » et ses spectacles d’une grande originalité sont truffés de surprises.
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Roberto d’Olbia, piano
Jean-Frédéric Molard, violon solo
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Programme :
- Jean-Sébastien Bach, Concerto en ré mineur BWV 1052
- Manuel de Falla, L’Amour Sorcier : Danse Rituelle du Feu
- Serge Prokofiev, Romeo et Juliette : Dance of the Knightes
- Gioachino Rossini, Le Barbier de Séville : Air de la Calomnie
- Vittorio Monti, Csárdás
- Roberto d’Olbia, Wild Boogie Woogie
- Roberto d’Olbia, Voyageur Song
- Warren/d’Olbia, There will never be another you
Roberto d’Olbia
piano
Roberto d’Olbia est né le 13 janvier 1970 à Beauvais (Oise).
Dès l’âge de 3 ans, il montre des dispositions exceptionnelles pour la musique, jouant d’oreille, créant et improvisant ses propres mélodies.
A 15 ans, il entre au Conservatoire de Beauvais dans la Classe du compositeur et chef d’orchestre Selman Ada et y achève son cursus en 1985. La même année il est admis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe d’Yvonne Loriot, puis dans la classe de Pascal Devoyon.
En 1987, il donne son premier récital dans un programme Mozart, Schubert, Debussy, préparé avec le soutien d’Aldo Ciccolini, avec lequel il entretient une relation tant amicale qu’artistique.
Il se produira régulièrement en récital, en France, Europe, Etats-Unis et Asie.
En 2002, le producteur de théâtre Jean Martinez le choisit pour camper le rôle de Sganarelle et Leporello dans le « Don Juan » de Molière, au Théâtre Mouffetard pour une quarantaine de représentations parisiennes.
Il s’oriente ensuite vers un mode d’expression pianistique dont il est l’un des pionniers : le « One-piano-man-show », dans lequel il déploie les multiples facettes de son talent, alliant performance pianistique, vocale et théâtrale, alternant légèreté, virtuosité, humour et improvisation.
Le succès est immédiat et l’amène à se produire sur les plus grandes scènes parisiennes telles que le Théâtre des Variétés, le Casino de Paris, l’Olympia, le Palais des Congrès.
En 2015 il joue le 3ème concerto de Rachmaninov avec l’orchestre présidentiel d’Ankara sous la baguette de son mentor Selman Ada.
La crise Covid lui donne l’opportunité de mettre l’accent sur son activité de compositeur. Sous le label Rfi INSTRUMENTAL, il enregistre un album de Ragtime destiné à la musique à l’image, puis son propre arrangement pour piano des « Quatre Saisons » de Vivaldi.
Il se produit actuellement en tournée avec les « 12 Études d’exécution transcendante » de Liszt et prépare en parallèle un nouvel album de composition intitulé « Piano Bar ».
Il est pressenti à l’horizon 2025 pour le rôle de Georges Gershwin dans l’opéra rock du compositeur Jean Renard aux côtés de la soprano Elysabeth Vidal.